Familles CHOISEUL
(de) (Branche de Saint-Domingue) - DISTOT
de MARCHEVILLE - LE
MOLLEUR/LE MOLEUR/LE MOSLEUR/LEMOLEUR/LEMOLLEUR (Lorraine) - GONDRECOURT - LEBRAY,
LE BRAY (Saint-Domingue) - REYNAUD
de VILLEVERD (Grenoble, Saint-Domingue) - LEFEBVRE,
LE FEBVRE, LEFEBURE (Honfleur, Guadeloupe, Saint-Domingue) - COQUIERE
(Saint-Domingue)
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Sommaire:
Source:
Notariat parisien, RP Versailles et Saint-Germain – AD Paris –
Gilles Poissonnier, histoire des Choiseul, tome 2, 2000 – François
de Boisdeffre, base boisdeffre, 2006 [compléments sur cette base] –
AD Haute-Marne, Généalogies du Baron de l'Horme (généalogie très
complète)
Voir
iad de Françoise Le Bray – Dossier AN Colonies E 81 dossier
Choiseul 3, AN Marine C1 161, Archives de l'armée de terre, GB
2752/1ere série (carrière Louis-Hyacinthe Choiseul) – BN dossiers
bleus 186 d°35 v° caractere Louis-Hyacinthe – revoir complément
in Gilles Poissonnier, histoire des Choiseul.
Biblio:
Gilles Poissonnier, histoire des Choiseul, 2000 contient des notices
très complète sur la vie des Choiseul
Actes
originaux (restranscription bienvenue):
-
séparation de bien de Louis-Hyacinthe de Choiseul et Françoise Le
Bray, procès AN 27 AP12 dossier 2 18.5.1786 [
B4550]
-
iad Charlotte-Rosalie de ROMANET épouse de François-Martial de
CHOISEUL 27.6.1753 pc Raince et Boulard LXXIII-776 [
E7350]
-
tution enfants de Charlotte-Rosalie de ROMANET épouse de
François-Martial de CHOISEUL 26.6.1753 Y4732B [
E7602]
-
cdm François-Martial de CHOISEUL Charlotte-Rosalie de ROMANET et pc
Perret 24.4.1751 XCV-208 [
E7674]
-
partage de Félicité-Madeleine-Honorée-Gabrielle ROUAULT de
GAMACHES épouse de Achile de HERICY 23.12.1825 pc Paillot notaire à
la résidence du Grand-Fresnoy canton d'Estrée Saint-Denis
[
fay0001] (source Archives Fayel)
-
bénéfice d'inventaire Charlotte-Rosalie de CHOISEUL-BEAUPRE Y4793A
15.6.1758 [
A1996]
I.
Nicolas-Antoine de CHOISEUL-BEAUPRÉ °20.4.1680 Bourguéville lez
Vaucouleurs, baptisé le 21.4.1680 Vaucouleurs (Meuse). +27.1.1727
Paris, hotel du Monceau Saint-Gervais, inhumé le 28.1.1727
Saint-Gervais, dit le marquis de Choiseul sgr et comte de
Marcheville, sgr de Sommevile (Eclaron, Haute-Marne), Moranville et
de Moulainville la Haute il commença sa carrière en 1697 à l'age
de 17 ans comme enseigne au régiment d'Agenais. Il servit dans
l'armée d'Allemagne, participant à toutes les campagnes de 1697 à
1706. Ces états de service lui permirent alors de lever son propre
régiment, qui porta son nom, dont il fut nommé colonel par
commision de septembre 1706. Il est cantonné plus particulièrement
en garnison et reformée en janvier 1714. En janvier 1715 il est
entretenu comme colonel reformé à la suite du régiment de
Boufflers puis à lasuite de celui de Pons. Il demande et obtient une
pension royale de 600 livres en février 1715 « supplie très
humblement de luy accorder une pension, et le même traitement qu'à
un vieil officier qui n'a point de pain. C'est la grâce qu'il oze
espérer en considération de ses services et de ceux de ses
ancestres ». chevalier de Saint-Louis 1710. Il obtint un brevet
de brigadier des armées du roi en février 1719, à l'ancienneté
puisqu'il ne semble plus servir. Il décède subitement à 47 ans
lors d'un déplacement à Paris, étant logé à l'hôtel du
Saint-Esprit, rue Monceau x août 1714 au château de
Fresne-en-Woëvre et pc 6.8.1714 à Marcheville (Woevre, Meuse) Genin
notaire à Fresnets Anne-Charlotte d'YVETOT/DIFTOT de MARCHEVILLE
°1696 +19.5.1789 93 ans au chateau de Sommeville, dame de Sommeville
fille de Joseph DIFFLOT comte de Marcheville, issu d'une petite
noblesse du Cotentin, major de la ville de Nancy 1696 (cad
responsable des fortifications), comte de Marcheville 1714, brigadier
des ingénieurs du Roi, directeur des fortifications de Verdun 1714
et Marie LE MOLLEURE, issue d'une famille de Clermont en Argonne
anoblie par le duc de Lorraine à l'extrême fin du XVIe siécle. A
la mort de son époux elle devait éduquer 7 enfants, tous mineurs.
Elle n'obtint du roi qu'une pension de 400 livres. Après avoir
installé ses enfans, elle resta à Sommerville où elle vécut assez
pauvrement. Elle ne mourut qu'en 1788 criblée de dettes. d'où
1.
Antoine-Nicolas °27.4.1716 +19.9.1760 Rennes, hotel d'Artois
chevalier dit le « Marquis de CHOISEUL-BEAUPRÉ » sgr de
Sommeville garde marine 1732, garde de pavillon 1739? capitaine des
vaisseaux du roi, par pour Saint-Domingue en 1741 revient en 1744
prend le service de terre, est aide de camp du prince de Conty, sert
à Rhin(?) en 1745 retourne à Saint-Domingue en 1746, revient en
1747 avec femme et enfants, dissipes ses biens. Propriétaire à
Ouanaminthe (Saint-Domingue), chevalier de Saint-Louis, auteur du
livre « Du Droit des Gens ». Mis à la Bastille d'avril
au 2 septembre 1760 x 1.12.1737 Saint-Domingue Renée-Marie-Michelle
BARTé de BEAUVAL °1717 Cap-Français « belle riche de
1.200.000 livres » (doss bleus 186 f°37 v°) fille unique de
François doyen du conseil souverain du Cap Franàais et de
Michelle-Renée PIOTARD(?) d'où postérité
2.
François-Martial °8.10.1717 +18.5.1791 Paris Saint-Germain des
Pres, dit le « comte de Choiseuil-Beaupré » inspecteur
général d'infanterie et menin de monsieur la Dauphine
1751,capitaine des gardes du roi Stanislas, maréchal de camp 1759,
colonel du régument de Flandre, brigadier des armée 1747,
inspecteur général de l'infanterie 1751, commandant des grenadiers
de France 1751, menin du Dauphin x1 au chateau de Bellevue chez la
marquis de la Pompadour (Meudon) pc Perret 24.4.1751 XCV-208
[
E7674] Charlotte-Rosalie de ROMANET +2.6.1753 (iad 27.6.1753 pc
Raince et Boulard LXXIII-776 [
E7350] clos de justice 3.7.1753
Y5327, tution 26.6.1753 Y4732B [
E7602]) fille de Piere-Jean de
ROMANET président au Grand Conseil et Marie-Charlotte d'ESTRADE. Son
époux tente d'en faire la maitresse du Roi Louis XV, manoeuvre que
le duc de Choiseul fait échouer. x2. Paris en la chapelle du marquis
de Lailly et au château de Drancy le 24.6.1755 Madeleine THIROUX
+12.3.1811 fille de Pierre THIROUX de MONTREGARD comte de Médary et
Marie PAIGNON d'où du premier lit
a.
Charlotte-Rosalie 27 jours le 23.6.1753 + 18.1.1758 (bénéfice
d'inventaire Y4793A 15.6.1758 [
A1996]
3.
Louis-Hyacinthe °5.9.1722 qui suit II.
4.
Marie-Françoise-Charlotte °23.1.1719 carmélite à Nancy, prieure
de Valdorine, abbesse de Sainte-Glossinde(?) de Metz 15.10.1761
5.
Elisabeth-Claire °6, bapt le 8.5.1720 Molainvile-Morauville (Meuse)
+8.4.1801 Metz éleve de Saint-Cyr, chanoinesse de Sainte-Grossinde
de Metz
6.
Anne-Catherine-Honorée °1722 chanoinesse de Poussay et abesse de
1787 à 1790
7.
Christine-Antoinette / Christienne-Antoinette de CHOISEUL de BEAUPRE
°1725 « aimable et spirituelle (doss bleus 186 f°34) x1. pc
29.6.1759 (arch meuse C2281, décrit inv som)
Nicolas-François-Charles BERTIN de TROISFONTAINES °3.2.1714 Ay fils
de feu Charles-Nicolas de BERTIN x2. 11.5.1772 Pierre LEFEVRE de
LADONCHAMPS °22.11.1730 Metz capitain au corps royal d'artillerie
fils de Jean-Henri LEFEVRE sgr de Ladonchamps, Sauny(?) etc
conseiller à la chambre des comptes de Metz et de Marie-Jeanne
PONTET
II.
Louis-Hyacinthe de CHOISEUL-BEAUPRÉ (°5.9.1722 (ou 1721) +14.6.1790
St Domingue) dit le « Comte de Choiseul » Il fut envoyé
par sa mère dans la marine. Il occupa les bancs de l'école de
Rochefort et devint garde-marine en octobre 1737. Il partit servir
comme capitaine d'infanterie dans le régiment de Choiseul. Il se
retira de la marine en 1741, où il avait fait l'objet l'année
précédente d'un rapport à propos de sa mauvaise conduite. Il
partit rejoindre son frère ainé à Saint-Domingue peu après, et y
resta Affublé de la qualité de chevalier de Choiseul (il semble
avoir été chevalier – non profès – de l'ordre de Malte), il
devint administrateur des biens de celui-ci. Il parut cependant
manquer d'assurance et de savoir-faire et tous les reproches
qu'Antoine-Nicolas évoqua vers cette époque, lui sont probablement
adressés. Une main anonyme le disait « Poltron, fripon,
infidèle administrateur de grands biens de son frère
Antoine-Nicolas » (doss bleus 166 f°35 v°). Il eut une
séparation de corps imposé par sa belle famille en 1755. Il obtint
en avril 1960 à 38 ans le poste de lieutenant du roi honoraire de la
colonie. En Janvier 1962 il est fait lieutenant du Roi à
Fort-Dauphin et reçut la croix de chevalier de Saint-Louis. A partir
de l'année suivante, il ne cumula plus cette charge avec son grade
de capitaine, l'ensemble des troupes sur place étant réformée. Il
est employé par le gouverneur comme colonel général, sans en avoir
la fonction agrée par la cour. Il se vit appelé Vicomte de
Choiseul. En 1768 il fut nommé brigadier d'infanterie, en 1769, le
15 mars il est nommé commandant de la partie nord de Saint-Domingue
en remplacement du comte d'Estaing, jusqu'en février 1772 où il se
fit remplacer pour raison de santé. Il prit sa retraite en juin 1772
avec une pension de 4.000 livres. Il fut nommé en 1775 commissaire à
l'établissement des bornes frontières avec la partie espagnoles. Il
fut ordonné inspecteur général de la frontière en mai 1776. Il
réclama en vint à plusieurs reprises le grade de maréchal de camp
sans succès. Il obtint se grade en février 1778 x 3.7.1751 devant
Bouyer notaire au cap Marie-Françoise LE BRAY +20.1.1807 84 ans (iad
Pierre Louis Dubert notaire à Remy 11 et 20 mai 1807 – non
consulté, son épitaphe est reproduite dans le bulletin de la
société historique de Compiègne de 1920 page 53) dans son
testament (constant, notaire à Compiègne 10.6.1807) elle légue à
sa négresse Pauline et à sa mulâtresse Geneviève chacune 1000 frs
argent de Saint-Domingue et sans retenue de pension payable
mensuellement et au quartier à compte dudit jour de mon décès,
savoir, à ma dite mulatresse pendant les 6 années seulement qui
suivront le jour de mon décès... au château du Fayel Canton
d'Estrées Saint-Denis (Oise). Elle était la belle-soeur du sénéchal
du Cap Français et riche héritière. Et pourtant, quelques mois
après la cérémonie, on la disait « n'ayant pas un sous pour
vivre, forcée de se réfugier dans des maisons étrangères ».
Elle obtint la séparation de corps en 1755 avec son époux. En 1786,
il entreprit une procédure en vue de reprendre la communauté avec
son épouse, cette dernière fit valoir qu'elle fut obligée « de
vivre dans la case d'un négre charpentier » et que, sur le
seul bien qu'elle possédait, elle faisait « une pension à son
fils, à sa fille, même à sa petite fille » (AN 27 AP12
dossier 2 18.5.1786 [
B4550]) d'où deux enfants nés vers
1753-1755. Ses héritiers obtinrent du gouvernement français une
indemnisation de 71.280Fr en 1830 pour une sucrerie au quartier
Morin, et une autre pour la moitié d'une sucrerie en brut situé à
La Petite Anse, quartier Bonnet pour 18.000 Frs.
1.
Antoine-François-Martial qui suit II.
2.
Marie-Catherine-Hyacinthe de CHOISEUL-BEAUPRÉ +22.11.1836
+22.11.1836 x octobre 1778 (Janv 1780) Joachim-Valery-Therese-Louis
de ROUAULT °11.5.1753 Paris +29.9.1819 (ou 20.9.1819) Chateau du
Fayel marquis de Gamache chevalier comte de Lignières, etc grand
d'espagne de 1ere classe, au titre de duc de la Mothe-Houdancourt,
capitaine de cavalerie etc d'où
a.
Félicité-Madeleine-Honorée-Gabrielle ROUAULT de GAMACHES
°27.10.1781 Paris +13.7.1819 Château du Fayel, Les Royes (Somme) (
iad pc Denis notaire à Paris 30.8.1819, partage 23.12.1825 pc
Paillot notaire à la résidence du Grand-Fresnoy canton d'Estrée
Saint-Denis [
fay0001]) d'où postérité
III.
Antoine-François-Martial de CHOISEUL-BEAUPRÉ °Cap Français,
St-Domingue +29.4.1840 86ans Paris dt 5 rue Cocatrix en la Cité,
décédé 1 rue Copreau, habitant barrière du Roule. Il fit des
études théologiques et fut nommé vicaire général du diocèse de
Rouen. Il reçut quelques années avant la révolution, et en
commande l'abbaye de Saint-Eloi-Fontaine x Jeanne-Madeleine DULUC de
LA ROQUE +av1807 fille de François de LA ROQUE propriétaire à
Donton(?), Saint-Domingue d'où
1.
Eugène-François-Martial de CHOISEUL-BEAUPRÉ °6 nivose an 9
2.
Anne-Beatrix-Ernestine °30 Thermidor an 10 +Paris 18e le 3.3.1881 x
N. de CASTELNAU
3.
Charles-Louis de CHOISEUL-BEAUPRÉ °6.7.1804 +21.1.1881
Bois-Colombes villa des Cartonnets, chef d'escadrons de lanciers en
1865
source:
base roglo - dépouillement CG Meuse - Bulletin de la Société
d'archéologique et d'histoire de la Moselle
I.
Joseph DISTOT alias de DISTOT de MARCHEVILLE +19.10.1698
Marcheville-en-Woëvre (Meuse) (image 189/413 AD55 E dépôt 239 1E1,
« mort à Verdun » comte de Marcheville, « issu
d'une petite noblesse du Cotentin », capitaine dans le régiment
de Champagne, sergent major de la ville de Nancy, l'un des ingénieurs
du Roi dans ses troupes et armée 1688, major de la ville de Nancy
1696 (cad responsable des fortifications), comte de Marcheville 1714,
brigadier des ingénieurs du Roi, directeur des fortifications de
Verdun 1714. Il reçoit des lettres de noblesse en aout 1687
enregistré le 26.1.1688 (et 16.1.1688) x Marie de MOLEUR alias
Marie LE MOLLEURE fille de Nicolas de MOLLEUR et Anne de MOLLEUR,
issue d'une famille de Clermont en Argonne anoblie par le duc de
Lorraine à l'extrême fin du XVIe siécle, veuve elle x2. 23.11.1700
Marcheville en Woevre (55) (image 197/413) François de LA VERGNE, de
Bellon en Périgord fils d'Armand de LA VERGNE chevalier seigneur de
la Binety? et Jeanne de SALNEY [dans les signatures au 2nd
mariage: Anne SAILLET) d'où
1.
Marie-Anne de DISTOT °v1693 +13.10.1770 Marcheville-en-Wöevre (55)
à 77 ans <, de Verdun à son mariage x 18.11.1710
Marcheville-en-Woëvre, 55 (image 242/413) François de LAVERGNE
+av1763 optaine(?) en Angoumois fils de +François et Marie de
FORTIER [dans les signatures au mariage François DISTOT] d'où
a.
Marie-Cécile de LA VERGNE x Antine-Henri-Nicolas de ROSIERES fils
d'Alexis et Lucie FAILLONET, de Saint-Mihiel
b.
Marie-Anne de LAVERGNE x 21.11.1763 Marcheville-en-Woëvre Nicolas de
LISLE veuf de M.A-Jeanne du GROU de GRANVILLE
2.
Anne-Charlotte de DISTOT °v1695 +1788 Sommerville . A la mort de son
époux elle devait éduquer 7 enfants, tous mineurs. Elle n'obtint du
roi qu'une pension de 400 livres. Après avoir installé ses enfans,
elle resta à Sommerville où elle vécut assez pauvrement. Elle ne
mourut qu'en 1788 criblée de dettes. x 7.8.1714
Marcheville-en-Woëvre (image 252/413, château de Fresne-en-Woëvre)
et pc 6.8.1714 à Marcheville (Woevre, Meuse) Genin notaire à
Fresnets Antoine de CHOISEUL-BEAUPRÉ marquis de Choiseul colonel
d'infanterie, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis fils de
Louis de CHOISEUL chevalier comte de Beaupré et Anne-Catherine de LA
BARRE, de la paroisse de Fresnes d'où postérité
3.
Anne-Angélique °17.12.1698 Marcheville-en-Woëvre (Meuse)
non
relié
-
Pierre DISTOT x 22.2.1647 Torcy, 77 Marie MAUDIEU
source:
Dom Ambr Pelletier, nobiliaire ou armoirial général de la Lorraine
et du Barrois, Nancy, 1758 – Manuscrit de CP de Longeaux, edt par
le baron de Dumast, la chambre des comptes de Bar le Duc, 1907 -
Charles de Roton, notices sur les familles Le Moleur, etc, Manusc.
(Bibliothèque Généalogique 4°G mss 10 J) - Journal de la Société
d'archéologie et du Comité du Musée lorrain - 1885, page 238
(rectification nobiliaire de St-Mihiel) - Mémoires de la Société
philomathique de Verdun Meuse - 1888 (sur le collège de Clermont) -
Annales de l'Est et du Nord - 1909 (correction à l'ouvrage de Dumast
sur la chambre des comptes de Bar) - Recueil des armes et blasons des
familles nobles actuellement existantes et établies en la ville de
Bar et dans l'étendue de son district, 1771 Extrait du tome IX, 3e
série, 1900 des Mémoires de la Société des lettres, sciences et
arts de Bar-le-Duc, 1900 - Ch-Em Dumont, nobiliaire de Saint-Mihiel,
1864, tome 1 - dépouillement CG Meuse
voir:
Ch-Em Dumont, nobiliaire de Saint-Mihiel, 1864, tome 2.
Eventuellement: Bib Ste Geneviève, Paris MS 861, fol 53-70 livre de
la recherche et du recueil des nobles du baillage de St Mihiel fait
par Didier Richier, par commission expresse de Monsgr la baron de
Haussonville, maréchal de Barrois, 1577
Porte
d'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux étoiles de
même, et en pointe d'une épée d'argent garnie d'or posée en pal,
la pointe levée, la garde chargée d'un livre de sable enrichi
d'argent; etc pour cimier un lion naissant de gueules tenant une
molette d'éperon d'or, le tout porté d'un armet morné, couvert
d'un lambrequin aux métaux et couleurs de l'écu.
Ou
bien:
d'azur
à l'épée d'argent garnie d'or posée en pal, accompagnée en chef
de deux étoiles d'argent, au chevron d'or brochant sur le tout;
parti de gueules, à trois têtes de licrone arrachées et
coutournées d'argent, posées de deux et une.
Selon
Charles de Roton:
«
Par alliance, les Moleurs tiennent à la maison des Cheppey, d'Orne,
de Beronvaux (maison de nom et d'arme à trois lions) et de Mousson.
Il y avait un nommé André d'Orne qui était gouverneur des comtés
et évêchés de Verdun sous Guillaume de Havaincourt, du temps du
Roi Louis onze, de l'Empereur Maximilien et Frédéric son père. De
la maiso de Mousson (qui est de nom et d'arme portant les armes de
trefle(?) au champ d'azur) était sorti Etienne de Mousson chanoine
et grand doyen de l'église cathédrale de Verdun, qui y fit batir la
maison décanale proche la tour le prineier(?), Le Choeur de l'église
de Jubécour dont il était curé, deux Le Moleur y ont été Curé
successivement. Est sorti aussi de la maison d'Orne Africain de
Lossonville ayeul des seigneurs de Vaubecourt, actuellement la maison
de Gournay, de Marchéville, Desporcelet, de Maillaume et d'Apremont:
celles-ci son aussi alliées à la maison de Mousson.
Les
titres de la maison d'Orne étaient dans les mains du dit Barthélémy
Lemoleur.
Les
alliances des Moleurs modernes sont les Bonnette, Bournon, Saillet,
Gervaise, Gondrecourt, Oryot, Lescanoussier, Collinet, Roton et
autres. »
« Alliances
Le Moleur: Galter Moller, Vualin d'Espinotte, Collignet, Cheppey,
d'Orne, Beronvaux(?), Lossonville ou Daussonville, Gournay,
Marcheville, Desporcelet, Maillaume, d'Apremont, Bonnette, Bournon,
Saillet, Gervaie, Gondrecourt, Oryot, Lescamouffier, Collinet,
Roton. »
Les
4 premiers degrés viennent de Charles de Roton.
I.
N. MOLLER bourgmestre de Hambourg d'où
II.
Galther MOLLER, cadet venu en Lorraine amené par le sieur d'Aisne,
marchal de Barrois et ambassadeur du Souverain duc de Lorraine au dit
lieu d'Aisne. Il vécut quatre vingt dix neuf ans x N. DESPINOTTE
fille unique de Vuarin DESPINOTTE d'où
III.
Guillesme Blaser MOLLER a peu vécu d'où
IV.
Blaise LE MOLEUR a peu vécu, d'où
1.
Elisabeth LE MOLEUR décédée sans hoirs
2.
François qui suit V.
V.
François LE MOLLEUR gruyer et receveur de la prévôté des
Montignons à Montzéville, au bailliage de Clermont pendant
trente-six ans, fut anobli (rehabilité d'après Roton) par lettre
données à Nancy le 10 octobre 1598 « En considération de ses
services et de ceux de Barthelemy Le Molleur, avocat général au
bailliage de Clermont, son fils, ensemble de la mort de feu Blaise Le
Molleur son autre fils, tué au service de S.A. Par les ennemis de
l'Etat, etc » d'où
1.
Blaise LE MOLLEUR tué au service de S.A. Par les ennemis de l'Etat
2.
Barthélemy qui suit VI.
3.
Jacques qui suit VIbis
4.
Didier LE MOLLEUR curé de Clermont en Argonne ca 1628 +1636
Clermont
5.
Claude LE MOLLEUR sgr d'Ancéréville (près Bethelainville, 55) /
Ancerville. Ancéréville fut érigé en fief le 12.11.1606 en sa
faveur. Il en donna à son altesse un dénombrement le 20.12.1606 et
le 18.2.1614 (cf AD55 B314 f°558 et 559) d'où
a.
Jean LE MOLLEUR +av1647 avocat à Saint-Mihiel, premier conseiller en
la cour souveraine de St-Mihiel puis, écuyer conseiller à la Cour
de Lorraine, et président de Commercy x St Mihiel Catherine
GONDRECOURT (Catherine de GONDRECOURT) (peut-etre °18.2.1602
Saint-Mihiel fille de Nicolas et Marguerite LECLERC) d'où
a1.
Elisabeth LE MOLLEUR °10.10.1618 St Mihiel x? Nicolas GÉRARDIN
lieutenant généal du bailliage de Verdun
a2.
Marguerite LE MOLLEUR °16.8.1620 St Mihiel
a3.
Marie LE MOLLEUR °12.11.1622 St-Mihiel
a4.
Claude LE MOLLEUR °7.3.1624 St-Mihiel
a5.
Anne MOSLEUR°2.6.1626 St Mihiel, morte jeune
a6.
Barbe MOLEUR °8.2.1628 St Mihiel (55)
a7.
Anne LE MOSLEUR °5.7.1629 St Mihiel (55) x Nicolas LE MOSLEUR (cf
ci-apres)
b.
Barbe LE MOSLEUR x Nicolas de VILLEMORIEN seigneur d'Autrécourt,
Waly, Auzéville, Vraincour en partie, et voué de Parois dt à
Clermont, sans enfants font une donation le 21.8.1647 de leurs biens
pour la fondation du petit collège de Clermont (Mémoires de la
Société philomathique de Verdun Meuse - 1888, page 123)
6.
Jean LE MOLLEUR (d'apres de Roton qui ne parle pas de Didier)
VI.
Barthelemy LE MOLLEUR seigneur de la Tour de Neuilly, de la grande et
petite Maratz( licencié ès loix, avocat à Clermont, fut pourvu de
l'office d'avocat fiscal et général du comté de Clermont qui avait
été crée en sa faveur par lettres expédiées à Nancy le 4
septembre 1595. Il se démit de cet office en 1603, et fut pourvu de
celui de gruyer et de garde scel au baillage dudit Clermont, par
autres lettres du 6 septembre 1603, en place de Jacques de la Vallée.
Il épousa Claude BOURGET, dont il eut:
1.
François LE MOLLEUR lieutenant particulier en la prévosté de Bar,
auditeur des comptes le 1 février 1621 sur la démission de Jean Le
Prudhomme et mort sans postérité de sa femme Marie d'ORGIES (ou
d'ORGE, famille de Champagne, élection de Langres qui fit preuve
devant Caumartin)
2.
Jean-Elisée qui suit III.
3.
Jacques LE MOLLEUR chanoine de la primatiale de Nancy en 1628,
chancelier et garde des sceaux de Lorraine et Barrois 1635,
chevalier, abbé d'Autrez. Il s'est trouvé dans les traités de paix
et autres faits entre le duc Charles de Lorraine et la France.
Lesquels ont été signés et scélés de lui en cette dite qualité
avec le Cardinal de Richelieu.
4.
Christine LE MOLLEUR (alias Jeanne?) + Bar et inhumée aux Clarisses
x François COLLIQUET conseiller en la chambre des comptes de Bar,
d'où post. (cf base roglo)
VII.
Jean-Elisée LE MOLLEUR (alias Elizée LEMOSLEUR) écuyer, seigneur
des mêmes lieux que son père, étant encore fort jeune, fut pourvu
de l'office de gruyer et garde scel de la prévôté de Clermont par
lettre expédiées à Nancy le 28 aout 1610, sur la démission de son
père, qui se réserva l'exercice de cet emploi. Il fut aussi pourvu
de l'office d'auditeur en la chambre des comptes de Bar, par autres
lettres du 11 décembre 1632, et fit un accord le 17 octobre 1669
avec Jean-Baptiste Bournon son gendre et François son fils. x
Claudine ORIOT / ORYOT / OLRYOT / AURIOT fille de Nicolas ORIOT
docteur en droit et conseiller en la chambre des comptes de Bar et de
Jeanne de BAR, dont il eut
1.
François °18.3.1616 Clermont-en-Argonne (55) qui suit IV.
2.
Claude LEMOSLEUR (fille) °5.10.1617 Clermont-en-Argonne (55)
2.
Claudine LE MOLEUR x Jean-Baptiste de BOURNON fls de Nicolas avocat à
St-Mihiel et Elisabeth MAULJEAN sa première femme d'où post.
4.
Berthelemin LEMOSLEUR °11.11.1620 Clermont-en-Argonne (55)
5.
Jean LEMOSLEUR °31.8.1622 Clermont-en-Argonne (55)
6.
Berthelemy LEMOSLEUR °30.3.1630 Clermont-en-Argonne (55)
VIII.
François LE MOLLEUR seigneur de Seigneulles et du grand et petit
Marat et le Bois Lescuyer. Conseiller et auditeur des comptes de Bar
Obtint renvoi au bailliage de Clermont de l'assignation à lui donnée
au sujet de sa noblesse le 21 novembre 1671. Il était mort avant le
mariage de sa fille Eve x Sébastienne BAUDOUX / BAULDOUX / BEAUDOUX
fille de François auditeur en la chambre des comptes de Bar et
Françoise BOUVET dont il eut entre autres:
1.
Eugène-Ferdinand-Gaston qui suit V
2.
Joseph LEMOLLEUR mort conseiller au bailliage de Varennes dont
postérité et particulièrement un fils qui lui a succédé au dit
office – probablement le même que Joseph LEMOLLEUR x Jeanne
LESCOUET / LESCOURT d'où
a.
Louis LEMOLLEUR x 14.1.1739 Varennes en Argonne (55) Marguerite
MAUCLER fille de Jean et + Marie LAMBIN(cf Philippe Noël, base phno,
2006)
b.
Marguerite LEMOLLEUR x 16.6.1735 Varennes en Argonne (55) Louis
PORTEJOYE veuf de Françoise LENOIR
3.
Françoise LEMOSLEUR x 19.5.1672 Seigneulles (55) Jean NOTTA de la
TOUR (NOTA) fils de Nicolas lieutenant général au bailliage
d'Apremont et de Christienne GALIOT d'où enfants sans postérité
eux-mêmes.
4.
Eve °4.7.1661 Bar le Duc +27.8.1720 Aubréville (55), inhumé le 30
x 3.2.1682 Brocourt, Clermontois, Jean-Philippe HAINZELIN/HINZELIN de
BRAUCOURT éscuyer fils de Gérard éscuyer et Margueritte PIERRE
d'où postérité [source complémentaire: Pascal Mathieu, base
jeanmat, 2006] et
5.
Jacques LE MOLLEUR °19.10.1645 Bar
6.
Jacques LE MOLEUR °2.7.1647 Clermont-en-Argonne (55)
6.
N. MOLEUR +5.7.1648 Clermont-en-Argonne (55) (file de François et
N. ROUSTUR?)
7.
Louise-Charlotte LE MOLEUR °4.10.1648 Clermont-en-Argonne (55)
7.
Louise LE MOLEUR +2.4.1650 Clermont-en-Argonne (55)
8.
Claude LE MOLEUR °23.3.1650 Clermont-en-Argonne (55)
9.
Louise LEMOLEUR, de Bar-le-Duc à son mariage x 19.10.1684 Brillon en
Barrois (55) Christophe BOURNON fils de Jacques auditeur des comptes
et Marie RUTANT
7.
Christine °29.12.1651 Bar
8.
N. x N. de BELLEGARDE [idem ? Marie LEMOSLEUR °v1660 +26.4.1710
Clermont-en-Argonne-Vraincourt (55) à 50 ans x x 16.3.1694
Clermont-en-Argonne 55 François de MANCE de BELLEGARDE alias
François DEMANSE]
7.
Alexandre LEMOLEUR °6.10.1666 Bar +7.4.1676 Clermont-en-Argonne (55)
IX.
Ferdinand-Gaston LEMOSLEUR mort conseiller assesseur au bailliage de
Bar x 24.10.1691 Bar-le-Duc (55) Anne-Yolande-Françoise DESVOULTON
°5.4.1677 Bar +3.7.1748 Bar fille de Joseph DES VOUTHON conseiller
au dit bailliage et Anne MARCHAL d'où
1.
Ferdinand LE MOLLEUR conseiller au bailliage de Bar +17.7.1748 à 62
ans célibataire
2.
Charles LE MOLLEUR (non cité dans le recueil de 1771
3.
Jeanne LE MOLLEUR +131762 à Bar 67 ans célibataire
4.
François LE MOSLEUR
VIbis
Jacques LE MOLLEUR fut pourvu de l'office de receveur de la prévoté
des Montignons au bailliage de Clermont, par lettres expédiées à
Bar, sur la démission de son père, le 3 juillet 1601, en payant le
quart de cinq cent francs, chanoine de la pimatial de Nancy en 1628,
il accède aux fonctions de chancelier du duc Charles IV en 1635.
C'est comme tel qu'il intervient dans la querelle qui oppose Charles
à son épouse, la duchesse Nicole. Sur ordre du duc, il rédige
alors deux écrits, le premier tendant à débouter Nicole qui accuse
son mari de concubinage avec Madame de Chantecroix, le second
démontrant la nullité du mariage ducal. Pendant l'empéchement de
Charles, retenu prisonnier à Tolède, il s'emploie à contrecarrer
les prétentions à la régence de Nicole, indisposant finalement
tout le monde. Charles, toutefois, le garde à son service et le
députe en 1663 la Diète de Ratisbonne. Il mourut en Lorraine dans
un âge fort avancé. Il écrivit Consolation à Pierre Erneste de
Mercy, Bruxelles, Epithalames sur eles heureux mariages de Mgs le
prince et Mme la princesse de Wandemont, par Jacques Le Moleur,
docteur es droicts, Clermontois, Saint-Mihiel, 1631 (source et voir:
Raymond Baustert, La consolation érudite: huit études sur les
sources des lettres de consolation de 1600 à 1650, 2003) x N. de
RIZAUCOURT d'où
1.
Michel qui suit III
2.
Nicolas LE MOLLEUR seigneur d'Autrecourt et de Waly et autres lieux
[adjudant général du feu duc Charles de Lorraine?] (Charles de
Roton le met la et comme fils de son beau-père avec cette
profession) demeurant à Montzéville en 1665 x 18.11.1651 (sa nièce
à la mode de Bretagne) Anne LE MOLLEUR °5.7.1629 Saint-Mihiel fille
de Jean écuyer conseiller en la cour souveraine de Lorraine et
Barrois, président de Commercy et Catherine de GONDRECOURT d'où
a.
Elisabeth LE MOSLEUR °v1652 +23.8.1735 Clermont-en-Argonne (55) à
83 ans, elle est la patronne de la fondation du petit-collège de
Clermont en 1726 (créé par sa tante Barbe) x 3.2.1669 pc passé à
Clermont Jean-Baptiste SAILLET +av1726 lieutenant général civil et
criminel au baillage de Clermont, puis chevalier, conseiller du roi,
lieutenant général en la table de marbre au parlement de Metz fils
de Jean et de Catherine NOIREL d'où post.
b.
Anne LEMOLEUR °v1659 Montzéville (55), 17 ans à son mariage [fille
de Nicolas, de Montzéville] x 15.6.1676 Verdun, St Pierre-Angelé
Bertrand GEOFROY 24 ans fils de Mathieu et Suzanne DARBAMONT, de
Metz, 57 psse Ste Ségolene
b.
François LE MOSLEUR °1.10.1663 Montzéville (p: Jean LE MOSLEUR, m
Barbe LE MOSLEUR) [peut-etre le meme qui entra dans la compagnie de
jésus et qui était en 1692 receteur du collège de Bar (Journal de
la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain - 1887,
page 52)
c.
Marie de MOLEUR alias Marie LE MOLLEURE x1. Joseph DISTOT +19.10.1698
Marcheville-en-Woëvre (Meuse) comte de Marcheville, « issu
d'une petite noblesse du Cotentin », capitaine dans le régiment
de Champagne, sergent major de la ville de Nancy, l'un des ingénieurs
du Roi dans ses troupes et armée 1688, major de la ville de Nancy
1696 (cad responsable des fortifications), comte de Marcheville 1714,
brigadier des ingénieurs du Roi, directeur des fortifications de
Verdun 1714. Il recoit des lettres de noblesse en aout 1687
enregistré le 26.1.1688 (et 16.1.1688) x2. 23.11.1700 Marcheville
en Woevre (55) François de LAVERGNE, de Bellon en Périgord fils
d'Armand et Jeanne de SALNEY
3.
Elisabeth LE MOLLEUR x Antoine de MUSSEY écuyer conseiller à la
Chambre des comptes. d'où postérité cf base monval
VII.
Michel LE MOLEUR écuyer, obtint renvoi de l'assignation à lui
donnée au bailliage de Clermont au sujet de sa noblesse avec
François et Nicolas Le Molleur le 21 novembre 1671. Il épousa
Catherine LE MARECHAL demeurante à Vaubecourt dont il eut postérité.
I.
François LE MOSLEUR écuyer lieutenant de la prévoté de Bar,
auditeur et conseiller de S.A. x Françoise SAILLET d'où
1.
Chestienne LEMOSLEUR °15.3.1611 Clermont-en-Argonne (55)
2.
François LE MOSLEUR °13.12.1630, bapt 23.12.1630 Bar (55) (parrain
Jacques LE MOSLEUR chanoine de la primatiale de Nancy, m: Louise
PLAICT, qui en 1691 était Recteur du collège des Jésuites de Bar
et Gabriel LE MOSLEUR curé de Lisle en Barrois de 1672 à 1692)
-
Factum pour Nicolas Le Mosleur,... sieur de Wally et d'Autrecourt, et
Jean-Baptiste Saillet, écuyer,... contre damoiselle Marie-Anne de
Saint-Etienne, femme de Jean de Prieur, sieur de Rocquemont, 1688...
(Z THOISY- 190 < Fol. 276 >)
- Factum
pour damoiselle Marie-Anne de Saint-Etienne, femme séparée quant
aux biens d'avec Jean de Prieur,... sieur de Roquemont,... contre
Nicolas Le Mosleur, sieur de Waly, et maître Jean Saillet, son
gendre, intimés.. Z THOISY- 417 fol 115
non
relié:
-
François MOLEURE x Michele BLANCHET d'où Marie MOLEURE 19 ans x
24.10.1702 Verdun 55 psse St-Sauveur Nicolas DOISY, de la psse
St-Amand fils de Jean et Jeanne FADET
Non
relié:
1504
– dom Henry Le Moleur, 1504. abbé de l'abbaye
cistercienne de Haute Seille
[http://cistels.free.fr/Abbayes/Haute_Seille/EMartimprey/EMartimprey_Liste.htm]
1567-
Claude Le Molleur, curé de Woimbey 1563 ; mort en 1567
[http://www.damsethi.com/Noblor/commune/w/woimbey.htm]
1603
– Berthelemy MOLEUR x Claude BOURGNOT d'où Jeanne MOLEUR
°18.7.1603 Clermont-en-Argonne (55)
1605
– Elisabeth LE MOSLEUR x Antoine de MUSSET fils de Jean et Marie
VIART d'où Jeanne x Antoine de L'ESCALE °1605 sgr de Villotte et de
la Cour, député de la noblesse [source: Aymeric de Romans, base
ayderomans, 2006]
1609
– Jean MOSLEUR °19.1.1609 Clermont-en-Argonne (55) fils de
François et Françoise N.
1612
– Jacqueline MOLEUR °25.10.1612 Clermont-en-Argonne (55) fille de
Ani..? et Marguerite NOIRET
1626
– Elisabeth LEMOLEUR d'où Marie LEMOLEUR °nov.1626 (avant le 12)
Clermont-en-Argonne (55)
1636
– Jean LE MOLEUR +10.5.1636 curé de Jubécourt. Le marbre
funéraire de jean LE MOLEIR est dans la chapelle de la Sainte Vierge
de l’église de Jubécourt ; il a été érigé aux frais du
neveu et successeur de ce curé. On peut y lire le détails des
riches fondations que ces deux ecclésiastiques ont laissées en
cette paroisse. [source:
http://theoonline.chez-alice.fr/page_cures.htm]
1636
- Jean LE MOLEUR, curé de Jubécourt, neveu du précédent ;
mort le 26 janvier 1670.
1655
– Adrienne MOLEUR fille de Jean MOLEUR, de Varenne 55 x 23.1.1655
Nancy, Ntre-Dame (54) Etienne BEGUIN, de Le Sourd (02)
1662
– Nicolas MOLEUR °23.3.1662 Béthelainville (55) (p: Jean MOLEUR)
1665
- Martine LEMOSLEUR fille de +Gabriel et Barbe ROBERT, de
Bethaincourt x 1.1.1665 Verdun (55), St Pierre Angelé Laurent
CHARDEBAR
1681
– François LEMOLEUR +16.8.1681 Clermont-en-Argonne (55)
1701+
- Nicolas LEMOLEUR, 52 ans +Norroy le Veneur (57) (cf base Union
Lorraine)
1706
– Charles MOLEUR +av1706 x Lucie FALIXE d'où Barbe MOLEUR, de
Rouen x 25.3.1706 Nancy, Ntre-Dame (promesse) Jean-Philibert DENIS,
de Pont-à-Mousson fils de Charles et Jeanne LECERS
Nobiliaire
de St-Mihiel de Dumont tome 1:
Catherine
GONDRECOURT épouse de Jean LE MOLEUR, avocat est marraine de:
-
Elisabeth BOURGEOIS °16.6.1622 Saint-Mihiel fille de Jean BOURGEOIS
et Elisabeth MAINBOURG
-
Catherine BOUSMARD °10.10.1630 Saint-Mihiel fille de Charles
conseiller à la cour et Claire LECUYER
Jean
MOLEUR avocat est: parrain de
-
Jean CHARBONNIER °10.9.1628 fils de Charles CHARBONNIER apothicaire
à Saint-Mihiel et Marguerite LAVEUFVE
-
Catherine RUTANT °25.2.1633 fille de Jacques RUTANT
lieutenant-particulier du bailliage, etc et Françoise de
BETTAINVILLIERS
-
Jean RUTANT °25.7.1633 fils de Varin RUTANT avocat puis conseiller
au baillage et Marie SAILLET
source:
AN 27 AP12 papiers de François de Neufchâteau sur Louis-Hyacinthe
séparation de biens avec Fs Lebray) – GH Caraibes et
communications de Philippe Rossignol.
voir:
R. Richard, les minutes des notaires de Saint-Domingue in Revue
d'Histoire des Colonies, 1951 p 281-338 et Dominique Rogers, "les
archives notariales de Saint-Domingue sous l'Ancien régime in
Ultramarines, 1996 n°12-13 p 40-42
voir
CAOM (Aix): NOT SDOM REP41, NOT SDOM REP51 NOTSDOM REP59, NOTSDOM REP
70, NOT SDOM REP 75 NOT SDOM REP 80, NOT SDOM REP 93 (actes sur les
Le Bray)
Voir
Archives Aix en Provence, colonie E348bis dossiers sur la famille Rey
I.
François LE BRAY négociant à Saint-Domingue. et si c'est le père
de Catherine peut-être « ancien mousquetaire noir établi à
Saint-Domingue » (on trouve un mousquetaire LE BRAY dans le
2eme compagnie, compagnie de Rochefort, 2e brigade in Le Catalogue
des gardes du corps du roi des quatre compagnies en 1660 et années
suivantes
http://web.archive.org/web/20081114022713/http://www.genemilassoc.fr/charge.php?f=MjM5),
son partage fut par par Mtre Auriol notaire du siège le 19 mars
1753. Leur habitation vendu par les parties à Mr Rey pc Auriol le 17
septembre 1753. la part revenant à Marie-Françoise Le Bray était
de de 308.658 livres x Marie LEFEBVRE soeur de Louis-(Antoine)
LEFEBURE/LEFEBVRE chevalier de l'ordre royal et militaire de
Saint-Louis capitaine au régiment de la mestre de camp de cavalerie
dt à Paris rue Grange Battellière psse St Eustache en 1753 d'où
1.
Pierre-François
2.
Marie LE BRAY x1. N. REY x2. avant 1779 M. de RENAUD colonel du
régiment du cap, brigadier des armées du Roy sénéchal du Cap
[probablement Jean François de REYNAUD de VILLEVERD] d'où
peut-être
a.
Paul-François-Marie REY +14.2.1779 rue de Bourbon, ville-neuve à
Paris (scellé Y13131 [
C7583], inventaire pc Giroust
notaire à Paris vers le 4.3.1779, non communicable en raison de son
état matériel) avocat au parlement dit cousin issu de germain de
Marie-Louise-Félicité Lefebvre x de Noue de la Granche 1769.
Probablement le meme conseiller du roy en ses conseils et son
procureur général au conseil supérieur du Cap-Français. Il vivait
dans la maison à Paris avec Pierre-André-François VIAU DES
THEBAUDIERES escuyer conseiller du roy au conseil supérieur du cap
français Isle Saint-Domingue
b.
N. REY lieutenant au régiment du Cap 1779 [probablement «aide-major
général des troupes et milices de Saint-Domingue, capitaine au
régiment du Cap, gendre de M de REYNAUD 1781-1789 cf E348bis cf D2C
7 p 149, D2C 101 p 144, et peut-etre « Jacques-François-Marie,
capitaine au régiment du Cap à Saint-Domingue 1772-1790 dossier
E348bis
c.
N. REY +av1779 (tution) x N. de MONTALIBOND/MONTALIBORD capitaine du
régiment du Port au Prince [peut-etre Germain GRIPIERE de MONCROC de
MONTALIBOR/MONTALIBAR major commandant au quartier -Jeremy à
Saint-Domingue) d'où
c1.
N. de MONTALIBOND demoiselle mineure 1779
3.
Marie-Françoise LE BRAY +20.1.1807 84ans (iad Pierre Louis Dubert
notaire à Remy 11 et 20 mai 1807 – non consulté, son épitaphe
est reproduite dans le bulletin de la société historique de
Compiègne de 1920 page 53, elle est dite +21.1.1807 à 83 ans,
testament constant, notaire à Compiègne 10.6.1807). Après sa
séparation de bien elle développa une sucrerie prospère au
quartier Morin d'un produit annuel de 150.000 livres x 20.7.1751 et
pc 3.7.1751 devant Bouyer notaire du siège, dot de 150.000 livres
Louis-Hyancinthe de CHOISEUL . Et un contrat de vente par le sieur
Rey à M et Madame de Choiseul de douze tête de négre faisant
partie de ceux qu'il lui avaient vendus. Autre contrat de vente faite
par ledit défendeur (Choiseul) au sieur Ruquai d'une habitation en
sucrerie au Trou, négres, et bestiaux y attachés, au rapport de Mr
de Lau notaire du dit siège le 25 décembre 1754. Par sentence du 3
may 1755 elle obtint une séparation de biens. Louis-Hyacinthe tenta
d'obtenir à nouveau cette communauté mais perdit par sentence du 18
mai 1786 (AN 27 AP12 dossier 2 18.5.1786 [
B4550]), et
condamné à rendre et restitué 309.658 livres résultant des
partages et contrats de ventes. Le Choiseuil fit l'acquisition au
héritiers Albert, d'une habitation établie en sucrerie size au Trou
le 12 décembre 1753. Il revendit cettte habitation sur laquelle il y
avait 53 mulets(?), 36 boeuf de Cabrouet, 59 négres au sieur Ruquay
négociation au Cap pour 440.000 livres. Ses héritiers obtinrent du
gouvernement français une indémnisation de 71.280Fr en 1830 pour
une sucrerie au quartier Morin, et une autre pour la moitiè d'une
sucrerie en brut situé à La Petite Anse, quartier Bonnet pour
18.000 Frs. L'autre moitié apparenant aux enfants de Emiland-Marie
CHOPIN à savoir Maceline-Lazarette, Emile-Louis et Lazare-Anatole
3.
Marie-Catherine mineurs émancipés 1753 avec pour curateurs Mr
Pillat(Pellat) conseiller honoraire en la cour et le Sr
Saillenfert(Faillenfert) de Fontenelle officier de la compagnie des
Bombardiers du Cap.
3.?
(la même?) Catherine LE BRAY °v1730 +avril 1754 morte sur le navire
qui la ramenait en France morte en couche selon l'arbre de François
Georgel « fille d'un ancien mousquetaire noir établi à
Saint-Domingue » (Le Pays Lorrain vol 27, 1935) x 04.08.1753,
à Cap Français (Saint-Domingue) Jean Antoine François LE BEGUE de
GERMINY / LEBEGUE °01.12.1727 à Nancy +13.5.1808 à 80 ans à
Landerneau (29). Chef d'escadre des Armées Navales en 1786, il
épouse en secondes noces le 13.01.1763 à Cleder (29) Marie Josèphe
de PARCEVAUX +25.8.1772 (ou plutôt 26.8.1771 Brest, 29) Dame de Pen
ar Coët Mariage fait en la chapelle du château de Tronjoly fille
de Claude Marie de PARCEVAUX, Chef d'Escadre, et de Marguerite de
KERGOET de TRONJOLY. D'où du mariage Le Begue/Parcevaux: 1.
Claude-Jean-Marie LE BEGUE de GERMINY °4.11.1763 émigré, fait
partie de l'armée des princes x 17.12.1808 Marie-Joseph-Ursule de
KEROUATZ d'où postérité, 2. Marie-Toussaint-Joseph LE BEGUE de
GERMINY, 3. Sylvie-Marie-Désirée LE BEGUE de GERMINY x
Yves-Guy-Marie PASTOUR de KERJAN (source
http://www.genea-bdf.org/BasesDonnees/genealogies/lebegue_de_germiny.htm,
et Jean-Luc Tissier, base jeandelancre:
http://gw.geneanet.org/jeandelancre et Hervé de Parcevaux de
Tronjoly, base parcevaux, 2006 http://gw.geneanet.org/parcevaux)
4.
Jean-Jacques qui suit II.
II.
Jean-Jacques LE BRAY né à la Petite Anse en 1730 mineurs émancipés
1753 idem pour les curateurs. émancipé par lettre de chancellerie
du Pallais en date du 10.2.1753, insinué le 14 février 1753 (AD75
DC6 13 f°85 r°, et avis au chatelet Y4729B 30.3.1753
[
A4466], curateur/tuteur son oncle Louis-Antoine
LEFEBURE/LEFEVRE et pc 28.3.1753 LeRoux? et Aleaume?) "Par
lettre de chancellerie donné à Paris le 12 2 1753 adressante au
prevost de Paris ou à son lieutenant civil signé par le conseil
réuny et icelle apert sa majesté à voir accordé émancipation
d'âge à Jean-Jacques LE BRAY fils de François LE BRAY négociant à
Saint-Domingue et de Marie LE FEBVRE son épouse, ses père et mère,
insinué à Paris ce 14.2.1753 et a été payé par le droit de 15
livres" officier des troupes de la colonie, Conseiller
secrétaire du Roi en Guyenne x Catherine Félicité DEPÉ
propriétaire à la Petite Anse quartier du Bonnet d'une sucrerie
(source Philippe Rossignol) d'où
1.
Antoine LE BRAY massacré à St-Domingue avec ses 3 autres frères
(source: http://www.larminat.free.fr/sgf/page.php?file=3-7)
Voir:
Noms de lieux d'époque coloniale en Haïti: essai sur la toponymie,
n°3, 1960 page 118
« (...)
On la trouve sous ces dénominations dans .. .. novembre 1829;
Abornements, cart 20; acte du notaire Cermeaux de la Chapelle, en
date du 7 juillet 1777.
Elle
porte le nom de Jacques Lebray, mousquetaire du roi, et a été
concédée à ce dernier le 30 juillet 1732. Elle a été receuillie
par Marie Lebray épouse d'un fils du vicomte de Choiseul, de la son
second nom. »
-
Pierre LE BRAY né à Limeus en Berry, fusilliers au régiment de la
Guadeloupe, compagnie du chevalier Hazeur, mort à l'hopital
militaire de la Basse-Terre à la Guadeloupe en 1789 (Dossier AN
Colonie, E 267)
Source:
GH Caraibes:
seules
pistes pour l'instant :(fiches manuscrites de G. Debien)
Ses
6 héritiers reçoivent 2 indemnités en 1830 et 1831
LEBRAY
Françoise veuve du comte de CHOISEUL BEAUPRÉ
sucrerie
Choiseul au Quartier Morin 71.280 f Etat de l'indemnité 1830
LEBRAY
Marie Françoise veuve de CHOISEUL 1/2 d'une l'habitation à la
Marmelade 18.000 F indemnité 1831 (je n'ai pas pu vérifier)
autre
1/2 CHOPIN Emiland Marie « dans une "sucrerie roulant en
brut" à la Petite Anse, » [source GHC Caraibes, 2002 page
3390
Source:
GH Caraibes:
Embarquements
de Bordeaux dépouillés par les Amitiés Généalogiques Bordelaises
:
Jacques
LEBRAY 17 ans origine Bordeaux destination Le cap 06/10/1787.
-
Arrêt du conseil du Cap, portant que les Baux à Ferme courent du
jour de l'Adjudication. Du 1er juin 1722, entre le sieur Stapleton,
habitant de la petite Anse, Appelant, d'une part, et le sieur Lebray,
Tuteur des Mineurs Le FEBVRE, intimé, d'autre part; ordonne en outre
ledit conseil, qu'à l'avenir il sera fait mention dans les
Adjudications, que les Baux à ferme commenceront du jour desdites
Adjudications, soit que l'Adjudicataire entre en possession ou non,
et ce pour éviter les difficultés qui arrivent à ce sujet (source:
Moreau de Saint-Remy, Loix et constitutions des colonies françoises
de l'Amérique sous le Vent. T. 3 / ; suivies,, 1784 page 10)
Sur
les Rey in Ministère de l'économie et des finances Ministère
des finances. Etat détaillé des liquidations opérées à l'époque
du I.er janvier 1828, Par la Commission chargée de répartir
l'Indemnité attribuée aux anciens Colons de Saint-Domingue, en
exécution de la Loi du 30 avril 1826 1828-1831:
-
Pierre REY donataire des anciens propriétaires, ses cousin (Pierre
et Jean-Charles BRISSON pour une caféterie appelé Biston situé à
Petit-Plaisance paroisse de Cavaillon (indeminé de 18.525 Frs en
1829)
-
Héritiers de Gabriel LACROIX, propriétaire d'une cafétérie dite
Lacroix, situé au quartier La Soufrière psse La Marmelade. Ils
recurent 12.675 Frs:
-
Anne-Marie-Josèphe OUSTRY épouse BARBé, Jeanne OUSTRY
-
Jean REY, Anne REY épouse ARDENEES, Anne-Adeleine REY épouse
DERCHAMP
-
Jeanne-Anne-Marie INGRES, Jeanne INGRES épouse BECHEY,
Jean-Auguste-Dominique INGRES
-
Héritiers de Jean-Baptiste-Philibert GODINOT de VILAIRE et
François-Joseph-Xavier VORBE pour une cafeterie "Vorbe" à
Limonade recoivent 8.775 Frs en 1827 d'où
-.
Marie-Pierre-Adolphe GODINOT de VILAIRE
-
François-Joseph-Xavier VORBE
-
Jean-Louis VORBE
-
Jacques-Joseph VORBE
-
Charles-Jean-Baptiste VORBE
-
Marie-Reine VORBE femme MIGET
-
Marie-Catherine VORBE dame PORTERAT
-
Ursule VORBE femme CHAMPAGNE
-
Théodore VORBE femme DUBAN
-
Jean-Claude VORBE
-
Jean-Antoine MOUREET
-
Colette MOUREET
-
Marie-Baptiste PELLETIER femme REY
fils
et neveux des propriétaires
-
Marie-Madeleine-Victoire MORIZOT épouse REY seule héritière de son
frère, Jean-Antoine MORIZTON propriétaire d'un terrain au quartier
Bourg et un terrain et maison au quartier des Verettes pour 1.466 Frs
-
François LEBRAY °v1638 x Charles LE BRETON °v1620 (source:
Jacques Petitjean Roget, Eugène Bruneau-Latouche, Personnes et
familles à la Martinique au XVIIe siècle: d'après recensements et
terrier nominatifs, 2000)
Famille
apparenté aux Le Bray
source :
Archives en ligne
I.
Arthus REYNAUD-VILLEVERD x Marguerite-Gabrielle FUSSELET d’où
II.
Jean-François REYNAUD de VILLEVERD °v1732 Grenoble maréchal de
camp x1. Marie-Catherine LEBRAY +av1801 x2. 2 messidor an 9 Paris 2
e
(
AD75)
Geneviève CHENOT °v1760 Paris fille de Pierre CHENOT et Geneviève
MENARD (Geneviève CHENOT x1. 21.6.1780 Paris, St-Médard (andriveau)
Claude DEBIELLE) d’où de Geneviève Chenot
1.
Armand-Charles-François °5.2.1793 Paris qui suit II
2.
Hélène de REYNAUD-VILLEVERD °v1797 Paris 2e +31.3.1868
Villefranche-sur-Saône (AD69) à 71 ans célibataire
II.
Armand-Charles-François REYNAUD de VILLEVERD °5.2.1793 Paris (
AD75)
+15.1.1876 Grenoble (
AD38)
à 83 ans , propriétaire x Eléonore de GRATET du BOUCHAGE d’où
1.
Arthur de REYNAUD chef d’escadron de cavalerie, 45 ans dt à
Grenoble en 1876
2.
Henry de REYNAUD chef d’’escadron de cavalerie, 45 ans, dt à
Grenoble en 1876
3.
Françoise-Josephine-Marie de REYNAUD de VILLEVERD °10.12.1824 et
baptisée le 11.12.1824 Paris, St-Roch
A
voir :
Nota :
Geneviève CHENOT +9.5.1825 Paris 2e (cf reconstitution)
Et
naissance 5.2.1793 dans les reconstitions
-
Jean-François REYNAUD de VILLEVERT °9.7.1731 Grenoble +22.11.1812
Cimetiere de Montmartre maréchal de camp député aux Etats-Généraux
veuve, née CHENOT (voir receuil de notes provenant Lacombe vol II
cim de Montmartre page 55) d'où
1.
Comte Armand-Charles-François REYNAUD de VILLEVERT
2.
Hélène REYNAUD de VILLEVERT
Seuls
héritiers de leur père ancien propriétaire d'une sucrerie au
quartier du Bois de Lance, paroisse Limonade, dont ils reçurent
108.067 Frs d'indemnisation en 1827
GH
Caraibes bulletin 167:
04-28 REYNAUD
de VILLEVERD et REYNAUD de CHORIS (Saint-Domingue, 18e)
Gabriel
Debien dans "Les Colons de Saint-Domingue et la Révolution"
donne quelques renseignements généalogiques sur Jean François
REYNAUD de VILLEVERD (et non Villevert), major général, puis
colonel de la Légion de Saint-Domingue, gouverneur général par
intérim.(1780-81)...; il précise qu'il a comme beau-frère le
vicomte Louis de CHOISEUL (aurait-il, comme lui, épousé une
demoiselle Fleury de la Gorgendière ?) et qu'il aurait un frère,
Adrien REYNAUD de CHORIS, major à Fort-Dauphin.
Merci
par avance à qui serait susceptible de m'expliquer cette alliance et
de me donner quelques renseignements sur ce frère.
Il
s'agit d'une famille du Dauphiné dont l'ancêtre, Adrien Reynaud,
anobli au XVIIème, était conseiller du roi, lieutenant particulier
au siège royal (présidial du bailliage de Graisivaudan). M. de
Laportalière
Précisions
de P. Baudrier
Thèse
de lettres, Paris, 1951, de Gabriel Debien (Gabriel).- La société
coloniale aux XVIIe et XVIIIe siècle ** Les colons de Saint-Domingue
et la Révolution : Essai sur le Club Massiac (Août 1789 - Août
1792).- Paris : A. Colin, 1953.- 414 p.- (Thèse : Lettres : Paris ;
1951) : notice de Jean-François, comte de Reynaud de Villevert, né
le 9 juillet 1731 à Grenoble (pp. 61-2). Adrien Reynaud de Choris
était son frère (p. 62).
Un
sieur Ignace FLEURY de LA GORJANDIÈRE était commissaire de la
marine et commissaire des guerres, faisant fonction de commissaire
ordonnateur au Cap ("Mélanges Historiques" de la Revue de
l'Histoire des Colonies Françaises de 1928 : "Un intendant
mordu par un contrôleur" [Arch. Col. F3 133, 175, 180], pp.
456-462).
NDLR
Voir
aussi GHC 2 (p. 11), 4 (p. 31) et 11 (p. 78) : né à Grenoble le
15/02/1731, décédé à Paris le 22/11/1812, député suppléant de
la partie du Nord de Saint-Domingue à l'Assemblée constituante.
L'index
de Moreau de Saint-Méry le dit propriétaire à Limonade d'une
sucrerie estimée 110.000 livres, et cite son dossier en Colonies E
349.
La
notice REYNAUD de VILLEVERT du lieutenant colonel Bodinier dans le
cahier 71 du CGHIA (septembre 2000) donne ses états de service (à
Saint-Domingue de 1762 à 1782/88) et le dit frère de Jean Adrien
REYNAUD de CHORIS, lieutenant de roi à Saint-Marc, tous deux fils
d'Arthur, conseiller au parlement, et Marie Gabrielle FUSSELET; marié
en premières noces à NN REY (fille du sénéchal du Cap et de
Catherine LE MAY ou LE BRAY), d'où trois enfants (dont Armand
Charles François né le 05/02/1793 à Paris), et en secondes noces à
Paris le 21.06.1801 à Geneviève CHENOT (o 06/01/1760 Paris, fille
de Pierre, marchand, et Geneviève MÉNARD).
Les
registres du Cap n'existent que de 1777 à 1789.
Source:
Philippe Rossignol, GHCaraibes, Archives Nationales, minutier central
– base Pierfit (Prométhée, Pégase)
(desc Jean-Jacques) – Thierry de la Chaize, base Geraud1, 2006
(desc Jean-Jacques) – Xavier Blutel, base fosses, 2006 (desc
Jean-Jacques) – GH Caraibes
http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc025/p0293.html
Voir:
Archives Château de Vincennes, Archives Outre Mer Aix
Voir:
dossier E271(col) sur Jean-Jacques LEFEBVRE de l'EPINE capitaine de
dragons habitant du quartier Saint-Louis à Saint-Domingue –
dossier E334 (Charles PERNET du RECOURT)
Les
3 premiers degrés de cette généalogie viennent de Philippe
Rossignol.
I.
Georges LEFEBVRE sieur de Lépine °1614 +ap1671 arrivé à la
Guadeloupe en 1645, conseiller au conseil supérieur de Houêl 1664,
capitaine lieutenant de la compagnie colonelle x v1640 près de
Honfleur Françoise FOSSÉ °v1619 +ap 1671 d'où
II.
Jean LEFEBVRE LEPINE °v1642 Honfleur, paroisse Sainte-Catherine
+av1694 passe en Guadeloupe avec son père, capitaine de la compagnie
colonelle de la Guadeloupe en 1691. 93 où il commendait une troupe
d'enfants perdus x 27.2.1666 Guadeloupe, pc Maitre Manichet Elisabeth
LE ROYER ° Le Havre ? +17.7.1690 Basse-Terre (Mont-Carmel) « Mle
Lefebvre Lepine », veuve de Jean LEVANIER habitant la
Guadeloupe [dans les témoins au mariage de 1666: Henry Guesnon sieur
de Lacavée et Guillaume Prévost capitaine commandant un des
vaisseaux de la compagnie des indes, cousin du marié. Il y a un
Henriy Guesnon, du Havre arrivé à Marie Galante en 1660) d'où
1.
Pierre qui suit III
2.
Elisabeth LEFEBVRE ca1671 x1. Marie Galante (?) Christophe FONTENAY
x2. 20.4.1711 Basse-Terre (Mont-Carmel), Guadeloupe Claude MESNAUD
fils de Jean MESNAUD maitre tailleur d'habits et Marie AUBERT
3.
une fille ca1671
4.
Georges LEFEBVRE °1675 +29.4.1691 mort dans la défense de l'île
(régiment de Mont-Carmel)
III.
Pierre LEFEBVRE ca1671 Guadeloupe +avant 1.10.1739 « né à la
Guadeloupe, depuis 38 ou 39 ans à St-Domingue passe de Guadeloupe à
Saint-Domingue vers 1700 où il est major de milice à l'Artibonite
puis major au Morin x 23.4.1709 Cap-Français, St-Domingue, pc Mtre
Rocher Catherine-Françoise COQUIERE fille de Jacques COQUIERE tué
avec un de ses fils à la guerre de la Savane contre les Espagnols »
d'où
1.
Jean-Jacques LE FEBVRE °1712 bapt 1.5.1712 à 4 mois Saint-Louis,
Quartier du Morin (St-Domingue) qui suit IV
2.
Guillaume-René LE FEBVRE
3.
Marie LE FEBVRE x François LE BRAY négociant à Saint-Domingue ,
son partage fut par par Mtre Auriol notaire du siège le 19 mars
1753. Leur habitation vendu par les parties à Mr Rey pc Auriol le 17
septembre 1753. la part revenant à Marie-Françoise Le Bray était
de 308.658 livres
4.
Louis-Antoine LEFEBVRE °9.2.1718 bapt 18.9.1718 Saint-Louis,
Quartier du Morin (Saint-Domingue) écuyer chevalier de l'ordre royal
et militaire de Saint-Louis capitaine au régiment de la mestre de
camp générale cavalerie, ancien capitaine en 1761 dt à Paris rue
de Richelieu paroisse St Eustache en 1752, rue Grange Battellière
psse St Eustache en 1753, rue des Bons Enfants paroisse St Eustache
1761, ancien capitaine de cavalerie et mestre de compagnie 1769, Il
donne pouvoir pour la gestion de ses habitation et des ses biens size
à Saint-Domingue au quartier de l'Artibonite dépendante de Sr
Maz(?), à Bertrand de L'ETANG capitaine de cavalerie dt à
Saint-Domingue, l'Artibonite pc LXIX-691 23.12.1761
[
A5494], s'il venait à décédé il donnera son pouvoir à
Mr de FOUGERé, écuyer ancien capitaine de cavalerie et chevalier de
l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, demeurant à Chaillot,
faubourg de la Conferme? paroisse dudit lieu en 1772 (tution
13.6.1772 Y4965A [
R17880])
5.
Marie-Françoise-Elizabeth LE FEBVRE / LEFEBURE+av1761 x pc 16.4.1736
Notaires royaux du Cap Français Isle et Cote Saint-Domingue Charles
PERNÉ DURECOURT/ PERNET du RECOURT / PERNAY du RECOURT +16.4.1752 au
village de Soindre près de Mantes (scellée le meme jour par le
bailli dudit lieu, iad le 20.4.1752 par le Bailli de Soindre et par
le sergent du baillage de Soindre, testament recu par Ducorps de la
Grave notaire à Mantes 10 et 14.4.1752 insinué, ventes des biens pc
30.4.1752 par Barrez huissier et sergent royal au baillage de Mantes
et Soindre, et du reste du mobilier transporté à Paris pc Varlet
huissier commissaire priseur à Paris 2.9.1752, compte de tutelle
LXIX-691 5.10.1761 [
B4500], tutelle Y4722A 4.8.1752
procuration pc Huet et avis 19.5.1759 pour vendre la maison de
Soindre) écuyer lieutenant pour le roi du Cap Français et
Saint-Domingue, chevalier de l'ordre royal et militaire de
Saint-Louis. Il successivement à St Domingue enseigne (1704),
lieutenant (1710), capitaine (1720), major du Port-de-Paix (1727)
puis du Cap Français (1732), lieutenant de roi au Fort-Dauphin
commandant en l'absence du gouverneur (1739) et enfin lieutenant de
roi au Port-de-Paix (1740). Lors de son décès la majeur partie des
biens consiste en habitations nègres et marchandises qui sont en
l'Isle Saint-Domingue. Il habitait une maison à Soindre, et avait
aussi une maison scise à Paris rue Saint-Germain l'Auxerrois. Dans
son testament il ordone que ses nipes et une chaise soient transport
à St-Domingue pou ry etre vendus, que des pierreries dont est
dépositaire la dame Lefebure seroient montées à la nouvelle mode
et qu'on en donneroit la préférence à la dame Lefebure, et 3e que
deux baril de vin de Grave qui étoient au Havre seroit transporté
au Cap pour y etre vendus. Fils de Charles-Nicolas-Baron PERNÉ
DURECOURT major général sous les ordres de Monsieur le comte de
CHOISEUL-BEAUPRÉ d'où
a.
Marie-Charles-Louis alias Charles-Louis-Marie PERNÉ DURECOURT
(PERNET du RECOURT) °v1741. pensionnaire au collége des Jésuites
à Paris en 1752 (à 11 ans). capitaine des milices à Saint-Domingue
1757-1779 (E334). Il demandait et faisait demander pour lui avec
insistance la croix de Saint-Louis, de 1772 à 1779 où il la reçut
enfin, le 12 août. Il fut cadet de Rochefort (1757), enseigne des
troupes détachées de la marine à St Domingue (1761), lieutenant
dans le régiment de Foix Infanterie en 1762; mais ce régiment
partant pour France en 1762, il le quitta, s'étant "marié à
St Domingue où il a toute sa fortune". Cependant il continua à
servir comme capitaine de milice et fut aide de camp de quatre
gouverneurs généraux de St Domingue, le comte d'ESTAING, le prince
de ROHAN, le comte de NOLIVOS et enfin le comte d'ENNERY qui fait une
lettre de recommandation pour lui en 1776 quand il retourne en France
"terminer quelques affaires". C'est lors de ce séjour en
France qu'il reçut la première des deux lettres ci-dessus, celle
écrite par HUVé père. Une des lettres de recommandation du dossier
de la série E correspond bien au rôle protecteur que nous le voyons
jouer pour son filleul. En effet, en 1775, un certain M. BEUDET écrit
au ministre : "M. du RECOURT dont les habitations touchent le
Cap, y reçoit les officiers en santé ou malades et, en cas
d'hostilités, le service trouverait en cet homme naturellement
généreux des ressources utiles." Il ne semble pas qu'il soit
retourné à St-Domingue, sa dernière lettre remerciant pour la
croix de Saint-Louis enfin obtenue étant écrite à Avernes en 1779.
(http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc025/p0293.html)
Il
avait pour tuteurs Louis-Antoine LEFEBVRE et Jean DUCASTEL bourgeois
de Paris dt rue Bourg Labbé paroisse Saint-Leu Saint Gilles et
Jean-Jacques LEFEBVRE tuteur pour la partie des biens scize à
Saint-Domingue. (tutelle 4.8.1752 et avis 19.5.1759, compte de
tutelle pc LXIX-691 5.10.1761). Leurs tuteurs ont vendu la maison
sciez à Soindre pc Touvenot dont la minute à été depuis remise à
Me Garcerand 22.5.1760. Egalement présent à la tutelle de 1752:
François PILLAT avocat au parlement dt rue Neuve Saint-Denis
parroisse St Laurent, Gabriel-Jullien BOUFFÉ, Pierre et Jacob
DAUGIRARD tous trois négociants à Paris dt rue Coquillière
paroisse St Eustache, Louis-Benoist ROBERDEAU et Jean-Baptiste BINANT
tous deux bourgeois de Paris dt rue Saint-Denis paroisse
Saint-Sauveur et Nicolas LECOCQ bourgeois de Paris dt rue aux Ours
paroisse St Leu St Gilles x Madelene-Françoise de BOUCHAUD fille de
Charles de BOUCHAUD capitaine de cavalerie, chevalier de Saint-Louis
d'où plusieurs enfants selon La Chesnaye des Bois
6.
Pierre LEFEBVRE officier 1733
7.
Thomas LEFEBVRE officier 1733
IV.
Jean-Jacques LE FEBVRE/alias LE FEBVRE de L'EPINE (l'ainé) °1712
bapt 1.5.1712 à 4 mois Saint-Louis, Quartier du Morin (St-Domingue)
écuyer capitaine de dragons commandant le quartier morin alias
quartier Saint-Louis, Isle et Coste de Saint-Domingue, logé en 1761
à l'hôtel de Fieubet quay des Celestins paroisse St Paul et 1763,
logé quay des celestins psse St Paul en 1769 pour le mariage de leur
fille, tuteur de Marie-Charles-Louis Perné du Recourt. Il fait une
convention pc 27.7.1761 LXXXIX-599 [
A5179] pour confier
pour 9 années l'exploitation d'une habitation lui appartenant au
quartier du port margot, juridiction du Cap Isle Saint-Domingue ou
bien (au choix) une habitation au quartier Dondon dont une a esté
acquise des héritiers du sieur Augré et l'autre actuellement tenue
par le sr Genty, à Pierre-César du CREST chev sgr de Champary
marquis de Saint-Aubin baron de Lancy ancien capitaine d'infanterie,
lieutenant de nos seigneurs les maréchaux de france au département
de la province de Bourgogne. Il se délie de leur société commune
en 1763. Il donne pc 30.7.1761 LXXXIX-599 une procuration au sieur de
Grandpré habitant du quartier Morin paroisse St Louis pour régir,
gouverner et administrer les différentes habitations qui lui
appartienne isle Saint-Domingue et commetre le sieur CHAPOTIN pour
régir, administrer et exploiter lesdites habitations sous les yeux
dudit sieur de Grandpré, l'établir sur la principale habitation
dudit sieur Lefebvre au quartier Saint-Louis. x 24.2.1733 Marie
LACASE / Marie de LA CAZE (LACASE), dt à Paris en 1763 d'où
a.
Marie-Sophie LE FEBVRE ca1763 +16.5.1774 Paris (75) (source gazette
de France) x Louis-Bénigne du TROUSSET d'HERICOURT comte d'Héricourt
°1722 +22.4.1792 chevalier de l'ordre royal et militaire de
Saint-Louis, sous-lieutenant à Roy-Infanterie, lieutenant 1739,
capitaine 1743, chevalier de Saint-Louis 1750, colonel provincial
1765 (il x2. 14.11.1776 Chapelle du Château, Saint-Martin de Condé
(27) Serène de NARBONNE-TALAIRAN d'où postérité, et également ?
Marie d'OFFEMONT), fils de Louis et Elisabeth-Perrine-Adrienne de
BREDA
b.
Elisabeth-Jeanne LEFEBVRE de L'EPINE x pc 17.1.1763 pc Guérin
notaire à Paris (cf ET/LII/426, source: GHC 2008)
Charles-François-Camille de CONSTANTIN chevalier seigneur de Daillon
alias sgr de la Lorie, de la Chapelle-sur-Oudon, de Marans, et de
Daillou fils de Gabriel-Félix CONSTANTIN chevalier seigneur de la
Lorie, La Chapelle sur Oudon, Marans et autres lieux ancien capitaine
des régiments d'Audicourt et de Lorraine, chevalier de l'ordre royal
et militaire de Saint-Louis et feue Louise-Charlotte-Sophie BOYLESVE
[aux AD75 il y a une Marthe-Mathile CONSTANTIN de MARENS testament
insinué le 10 septembre 1766, DC6 247 folio 216 verso.] (dans les
témoins au mariage: Robert-Claude JOUSSELIN de MARIGNY ancien
capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis)
c.
Marie-Louise-Félicité LEFEVRE/LEFEBVRE x pc Gobert notaire à Paris
29.1.1769 XLVI-425 [
C4607] Adrien-Jacques-Etienne comte de
MALDÉRÉE officier aux gardes françaises, chevalier de l'ordre
royal et militaire de Saint-Louis fils de Nicolas-Jacques marquis de
Catheville sgr de Tourville . Ils se séparent de biens par sentence
du chatelet en date du 6.8.1778 (Y9102 [
C2123]) prononcée
le 7 août (AD75 DC6 21 f°99r°). Le roi de France signe le contrat
de mariage
d.
Marie-Sophie (ou Marie-Catherine-Julie? ou Marie-Catherine) LEFEBVRE
de LEPINE présente au mariage de sa soeur en 1769 avec son époux x
avant 1763 Joseph-Louis de NOUE °17.3.1728 Laon (02) +5.12.1781
Paris à 53 ans, inhumé à Suzy marquis de la GRANCHE vicomte de
Suzy page de la Reine, lieutenant des gardes du corps du roi,
brigadier des armées du roi, exempt de la 1ere compagnie des gardes
du corps du roi fils de Louis-Charles et Marie-Madeleine de RONTY
d'où
a1.
Marie-Charles-Joseph de LA GRANCHE de NOUE °2.11.1758 Villers mort
sans postérité
a2.
(Marie-Elisabeth)-Jeanne de la GRANCHE de NOUE °1762 +8.7.1798
Halberstadt à 36 ans, en émigration dame d'honneur de Madame
Elisabeth de France, soeur de Louis XVI x 4.3.1779 Suzy (Aisne)
Jacques de VINCENS de MAULEON d'ARTAUD de BRUMELIS (alias de CAUSANS)
°1751 +1824 fils de Jean-Joseph marquis de CAUSANS et
Françoise-Madeleine de LOUVEL-GLISY d'où postérité (base geraud1
et fosses, Louis-Pierre d'Hozier, armorial général de la France vol
7 pt2, 1865)
e.
Marie-Adélaïde-Félicité LEFEBVRE témoin au mariage de sa soeur
Elisabeth-Jeanne en 1763
-
Recensement de la Guadeloupe en 1664
Montagne
de Bellevue
Mr
de LEPINNE Georges LEFEBURE, 50 ans
Françoise
FOSSE, sa femme, 45 ans
Jean
LEFEBURE, lur fils 22 ans
-
Recensement de la Guadeloupe en 1671
Montagne
de Bellevue
Mr
LEFEBVRE LESPINE
Françoise
FOSSÉ
LEFEBVRE,
aide-major
dlle
Elisabeth LE ROYER, 1 garçon, 2 filles
[Laurence-Françoise
de PERNET du RECOURT ca1826 ca1851 « baronne de Ville-Favard »
veuve d'émigré, aveugle et sans moyen d'existence elle émarge sur
la liste des pensionnaire de l'ancienne list civile « n'a
touché aucun des deux secours » x François DUMOSNARD de
VILLE-FAVARD +av1826 émigré (États détaillés des
liquidations faites par la Commission d'Indemnité, à L'époque du
1er. avril 1826, en exécution de la loi du 27 avril 1825, au profit
des anciens propriétaires ou ayant-droit des anciens propriétaires
de biens-fonds confisqués ou aliénés révolutionnairement /
Ministère Des Finances,
vol2, 1826 et Liste générale des pensionnaires de l'ancienne liste
civile, avec l'indication sommaire des motifs de la concession de la
pension, 1833)
-
Charlotte-Barbe-Antoinette de PERNET-DURÉCOURT veuve DESVIEUX colon
réfugié de Saint-Domingue (F/12/2791) (colon spoliés)
-
Pauline négresse, 25 ans, et Dominique, nègre, 10 ans appartenant à
madame la baronne PERNET du RECOURT, du Cap-Saint-Domingue, 600 ans
livres par an pour les 2 (2.8.1780) pour être pensionnaire à
l'hopital général de Saint-Louis de La Rochelle
Actes
non consultés:
-
obligation par Jean-Jacques LEFEBVRE écuyer commandant à
Saint-Domingue dt à Saint-Domingue à Jean-Baptiste DESESTRE boucher
à Paris dt paroisse Saint-Laurent(pc LI-1013 8.4.1761)
« Jean-Louis
Legrand peintre, meurt le lundi, 6 mars 1769, après cinq jours de
maladie, au village de Sucy-en-Brie, chez les. Jean-Jacques LEFEBVRE,
écuyer, ancien commandant du quartier Morin, île et côte de
Saint-Domingue, qui l'occupait à des travaux de son état, et qui,
le 28 juin de l'année précédente, lui avait constitué une rente
viagère de 240 livres, réversible sur la tête de sa femme, en
payement d'ouvrages pour lui faits, d'une valeur
de
3,000 livres. » (source: Archive de l'Art Français vol 11,
scellé Y15840)
inv
sommaire Aisne, 1906 page 171:
...
marraine Marie de la Caze femme de Jean-Jacques Lefebvre de
l'Epine. — 23 juillet 1762. .Baptême de
Jeanne-Françoise-Elisabeth, fille des mêmes. Parrain: Jean-Jacques
LEFEBVRE, commandant les troupes de la colonie de St-Domingue.
Marraine: Françoise LEGRAS vicomtesse de Suzy
Non
relié mais apparenté:
-
Paul COQUIERE dont Jean-Jacques LE FEBVRE, Louis-Antoine et
Guillaume-René légataire chacun pour 1/3. (cf compte de tutelle
Pernet du Recourt LXIX-691 5.10.1761 [
B4500])
-
Arrêt du conseil du Cap, portant que les Baux à Ferme courent du
jour de l'Adjudication. Du 1er juin 1722, entre le sieur Stapleton,
habitant de la petite Anse, Appelant, d'une part, et le sieur Lebray,
Tuteur des Mineurs Le FEBVRE, intimé, d'autre part; ordonne en outre
ledit conseil, qu'à l'avenir il sera fait mention dans les
Adjudications, que les Baux à ferme commenceront du jour desdites
Adjudications, soit que l'Adjudicataire entre en possession ou non,
et ce pour éviter les difficultés qui arrivent à ce sujet (source:
Moreau de Saint-Remy, Loix et constitutions des colonies françoises
de l'Amérique sous le Vent. T. 3 / ; suivies,, 1784 page 10)
Non
reliés
-
Guillaume LEFEBVRE des EPINES, poursuit en réunion à l'Artibonite
supplément aux affiches américaines 12.3.1787 (fiches Debien
dossier 108 75/254)
-
François LEFEBVRE dt au cap-Francais, Saint-Domingue procuration à
son épouse x Marie-Claude CHEVALLIER dt à Paris pc I-452 26.8.1751
Guillaume-René
LE FEBVRE de SAINT-ILDEPHONT (LEFEBURE de SAINT-ILDEPHONT) né à
Sainte-Croix-sur-Orne le 25 septembre 1744, est mort à Augsbourg le
27 juillet 1809 fils d'un gentilhomme qui prolongea sa carrière
jusqu'à l'âge de 100 ans. (cf notice sur Wikipedia, Michaud, dico
des journalistes) . Armes; D'azur, à un croissant d'or, acc. de
trois autres croissants d'argent.
-Bulletin
archéologique de l'Association bretonne - 1877
« Jean
DAUBREE et Esther de LEPINE espousèrent en l'église de Vitré, le
19.11.1645. Et le mariage écrit par Msr de la Place pasteur de
l'église de Sion »
« Avant
ma visite à Vitré, ...j'ai cru que cette Esther de l'Epine
appartenait à la famille LEFEBVRE de Guernesey, originaire de Vitré,
laquelle, durant quelques générations, a presque cessé de se
servir de son patronyme, et s'est désignée « de l'Epine ».
C'était probablement pour se distinguer d'autres familles insulaires
et étrangères du nom de LEFEYVRE et LEFEVRE. Je trouve aujourd'hui
que la famille de « l'EPINE » était nombreuse et
considérable à Vitré; et j'ai raison de croire que la famille
LEFEBVRE a pu avoir adopté ce nom territorial parce qu'elle
possédait des terres à Guernesey dans cette partie de la paroisse
de Saint-Michel du Valle, appelée la Vingtaine de l'Epine. Je puis
cependant me tromper à cet égard, d'autant plus qu'il est constant
qu'une branche de la famille restée en France se qualifiait « sieurs
de L'Espinay ». Les derniers rejetons de cette branche étaient
deux demoiselles LEFEBVRE, très agées, qui demeuraient à
Saint-Servan, et que j'ai eu l'honneur de connaître dans ma
jeunesse. Elle se rappelaient parfaitemant de leur parenté avec la
famille du même nom, établieà Guernesey, où elle est repréetnée
aujourd'hui par le vice-amiral Nicolas LEFEBVRE, seigneur de
Blanchelande, qui descend en droit ligne de Mathurin LEFEBVRE (LE
FEUBVRE), de Vitré et d'Anne de la MASSONAYE (Anne de LA
MASSONNIERE) sa femme (x Saint-Pierre-Port à Guernesay 29.5.1586
d'où un fils Pierre °avril 1588. Quand meme nous n'aurions pas la
preuve d'une origine vitréenne que nous fournit cet extrait, le fait
ne serait pas douteux, vu que l'amiral Lefebvre est en possession
d'une correspondance entre un de ses ancêtres et un Monsieur
LEFEBVRE, de Vitré, en l'année 1699 (...) (voir la suite)
Factum
BNF:
1703
- Factum pour messire François Le Febvre de Laubrière, conseiller
au parlement de Bretagne, héritier au paternel de messire Charles Le
Febvre,... seigneur de Lepiné (L'Epinay),... contre écuyer Jean
Drouet, sieur du Tertre, acceptant la succession sous bénéfice
d'inventaire... de dame Renée Guihery, sa soeur, femme de M. de
Lepiné, décédée en l'année 1680, et contre écuyer Jean de
Gouvez, défendeurs
1703
- Factum pour messire Jean de Morillon, conseiller au parlement de
Paris, dame Marie Le Febvre de l'Aubrière, son épouse, et pour dame
Françoise Le Febvre de Laubrière, veuve de défunt messire Charles
Du Chastelier,... seigneur dudit lieu, héritiers au paternel de
messire Charles Le Febvre, seigneur de Lépiné,... contre écuyer
Jean Drouet, sieur du Tertre, héritier et acceptant la communauté
sous bénéfice d'inventaire de dame Renée Guihery, sa soeur...
-
Addition de mémoire pour Jean de Couvetz et consorts,... héritiers
du côté paternel de messire Charles Le Febvre, seigneur de
L'Epinay,... contre les sieurs de Laubrière, de Morillon... et la
dame Du Chastellier, aussi héritiers dudit feu sieur de l'Epinay..
-Mémoire
pour les sieurs de Gouvetz, de Saint-Tray, Crollon de Camprond, et
autres écuyers de la ville d'Avranches, héritiers du côté
paternel de feu messire (Charles) Le Febvre, seigneur de L'Epinay,...
contre messire Le Febvre, seigneur de Laubrière,... dame Le Febvre,
veuve du sieur Du Chastelier, soeur dudit sieur de Laubrière,... le
sieur Morillon,... le sieur Drouet du Tertre,... le sieur Maréchal,
et autres héritiers maternels, intervenants... 1704
(nombreux
autres factum)
Mémorial
d'une famille du Havre de Maurice Begouën Demeaux – 1971
page
302: « Lefèvre possédait au Quartier Morin une sucrerie dite
d'Haristéguy, à la Petite-Anse une sucrerie dite Duplessis, à la
Grande-Riviève deux caféières. La production annuele des 2
sucreries était évaluée à 500 milliers de sucre terré,
L'indemnité 1826 fut fixée à 150.000 Fr. (Dossiers de l'indemnité.
- Etienne Lefèvre était déjà fort âgé et presque aveugle en
1808 ». «Etienne Lefèvre, ,colon réfugié aux Etats-Unis en
1803. - « Bien connu », note Laujou (Précis historique
de la dernière expédition de Saint-Domingue » « pour
avoir déplacé de Charleston plus de 100.000 écus pour établir sa
sucrerie de la Petite-Anse et reconstruire plusieurs de ses maisons »
- Outre 6 maisons au Can
Index
Moreau de Saint-Remy:
LEFÈVRE
(Jacques). Colon à l'Artibonite (1706). Capitaine de milice
(1713). Major du quartier de l'Artibonite (1714). — 843, 845, 851,
890. à l'Artibonite, « Il y a une
concession accordé à M. Jacques LEFEVRE enregistré au conseil de
Léograne le 12 mai 1706 ». « La milice, en 1713, ne
formait que la seule compagnie Lefevre. En 1718 il y en avait deux,
celle Lefevre de 64 blancs et 16 affranchis, et celle Mauger de 158
blancs et 6 affranchies.. » « Mr Lefevre fut nommé major
du roi pour le quartier de l'Artibonite 15.8.1724)
LEFÈVRE
(Héritiers). Il s'agit des nombreux descendants du précédent.
Jean L. habitant Saint-Marc vers 1730, époux de Louise Levalois.
Leur fille Louise épousa le 12 juin 1735 Jacques de Colméril,
originaire du Mans, d'où de nombreux enfants. Guillaume L. était
habitant propriétaire au bas de l'Artibonite. — 873, 891.
1749
- Louis LEFEBURE de LARAC d'où un fils illégitime
Louis-Amable-Cartusine? LEFEBURE de LARAC 8 mois °15.6.1749
Saint-Domingue, Croix des Bouquets (image 4/22), de Marie-Magdeleine
GOULARD mule libre (p: Louis LATOIZOU ROCHE-BLANCHE habitant, m:
Louise-Amable CARADEUX)
I.
Jacques COQUIERE +21.1.1691 Saint-Domingue, à Limonade tué avec un
de ses fils à la guerre de la Savane contre les Espagnols »,
(cf Moreau de St-Remy
http://books.google.fr/books?id=gbhIAAAAcAAJ&pg=PA183) d'où
1.
Catherine-Françoise COQUIERE x 23.4.1709 Cap-Français, St-Domingue
(?) Pierre LEFEBVRE ca1671 Guadeloupe +1.10.1739 « né à la
Guadeloupe, depuis 38 ou 39 ans à St-Domingue passe de Guadeloupe à
Saint-Domingue vers 1700 où il est major de milice à l'Artibonite
puis major au Morin
A
relié:
-
Paul COQUIERE dont Jean-Jacques LE FEBVRE, Louis-Antoine et
Guillaume-René légataire chacun pour 1/3. (cf compte de tutelle
Pernet du Recourt LXIX-691 5.10.1761 [
B4500])
-
Jacques COQUIERE, 26 ans né à Coutances, fils de Jacques, s'est
embarqué à Nantes pour Saint-Domingue le 12.4.1715. Parmi les
descendants Pierre Coquière dit Dupiton °v 1768 (cf GHC 165
décembre 2003 p 4019-20
Fiches
Debien:
-
Paul COQUIERET ht l'Artibonite 1739
-
COQUIERE habitant +21.1.1691 à Limonade (Moreau I-183)
-
COQUIERE notable 1723 cf G. Pollet St-Domingue et l'Autonomie, 210
-
COQUIERE ht du Port-Margot 1722 Charlevoix II-425, 1723 cf G. Pollet,
St-Domingue et et l'autonomie, 251
-
- Petite Rivière : 9 octobre 1734, mariage de Blaise LÉRISSON,
fils de Pierre et d'Elisabeth LABADIE, de Moncaut, avec
Marguerite COQUIèRE, fille naturelle de Pierre Paul COQUIèRE,
habitant, et de Renotte, négresse libre (GHCaraibe Numéro 62 :
Juillet-août 1994 Page 1120
source:
Pierfit (William Foucault), Alain Garric, base garric et base
Fraternelle,
I.
Jacques COQUIERES x Elisabeth AUGINAC d'où
1.
Marie-Elisabeth COQUIERE x 31.10.1735 François-Thomas de MONDION
°26.1.1714 St-Louis, Le Morin St-Domingue +29.3.1786 Paris ou Loudun
(86) écuyer capitaine commandant les milices de Saint-Domingue d'où
a.
Geneviève-Charlotte de MONDION °30.6.1738 +31.1.1798 (12 pluviose
an VI) x1. Louis DUVERNEY de ROQUEFORT écuyer capitaine d'une
compagnie franche de la marine x2 26.4.1784 Le Cap Français,
Saint-Domingue Jules-Antoine-Henry-Marie-Germain de ROSTAING marquis
de Rostaing °24.11.1740 Veauchette, 42 +15.8.1826 Veauchette, 42
député du tiers-états de Foresz
b.
Charles-Laurent de MONDION marquis de Mondion de Beaupré °12.5.1740
Port-Margot, Saint-Domingue (ou 11.5.1746 Port Margot) +1782 écuyer
aide-major dans les milices de St-Domingue en 1761, lieutenant puis
capitaine au régiment de Foix-infanterie x 11.7.1778 Paris,
Saint-Germain-l'Auxerrois Madeleine-Barbe d'HALLOT de CHAVANNES
+4.2.1809 Paris (75) fille d'Augustin officier au régiment du
Boulonnais et Barbe-Perrine de CHABANON (elle x2. 1.5.1806 Paris, La
Madeleine et pc Mtre Langlacé 28.4.1806 Adrien-Philibert PERRIN de
CYPIERRE +26.3.1848 Paris, La Madeleine) d'où
b1.
Charlotte-Barbe de MONDION °26.4.1779 Paris, St-Roch +17.11.1850
Paris, 75 vivant à Paris en 1789
c.
Jean-Baptiste de MONDION
base
minutes:
-
cdm entre Louis-René COQUIERRE et Jeanne DECREUSE RE/LXI/11
31.10.1786
-
iad Jean-Pierre BOYER ancien président de la République de Haïti ,
+ 9.7.1850, à la requête de Jean-Pierre-Edmond COQUIERRE dt rue
Castiglione, n°11
Véronique
COQUIERE veuve de PINIERE de CLAVIN (DECLAVIN) créole
(Saint-Domingue, cf AN sous-série D XXV, EC (colons de St-Domingue
en 1789
http://www.domingino.de/stdomin/colons_c.htm).
Elle avait 3 terrains aux Gonaives (cf indemnités St-Domingue)
« Sur
ces entrefaites, Boyer parcourait les postes de la ligne, le mouchoir
à la main, pleurant le chef qui venait de succomber, promettant aux
troupes, s'il était élu à sa place, de continuer à gouverner
d'après ses principes. En même temps il envoya COQUIERE, son
beau-frère, dire à PANAYOTI de se hater, (…)
(
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6135244p/f309.image.pagination.r=Coquiere.langFR)
(Souvenirs historiques de Guy-Joseph Bonnet, général
de division des armées de la République d'Haïti, ancien aide de
camp de Rigaud. Documents relatifs à toutes les phases de la
révolution de Saint-Domingue, recueillis et mis en ordre par Edmond
Bonnet.., 1864)
cf aussi
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k82882g/f336.image.pagination.r=Coquiere.langFR
Études sur l'histoire d'Haïti ; suivies de la vie du général
J.-M. Borgella. Tome 11 / par B. Ardouin,... 1853
Recueil
général des lois et actes du gouvernement d'Haïti, depuis la
proclamation de son indépendance jusqu'à nos jours ; le tout mis en
ordre et publié avec des notes historiques de jurisprudence et de
concordance, par M. Linstant Pradine, chargé d'affaires d'Haïti à
Londres et à Paris. Tome 2. - 1809-1817. [...]
Décret
du 1er mai 1843 relatif aux individus qui ont émigré avec
l'ex-président Boyer, dont:
Jean-Pierre-Edmond
COQUIERE, Hersilie PETION épouse COQUIERE, Coquerine COQUIERE vueve
DUTON INGINAC
Histoire
de l'Isle espagnole ou de S. Domingue. Tome 4 / . Ecrite
particulièrement sur des mémoires manuscrits du P. Jean-Baptiste Le
Pers, jésuite, missionnaire à Saint-Domingue, et sur les pièces
originales qui se conservent au Dépôt de la Marine, par le P.
Pierre-François-Xavier de Charlevoix,... 1733
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55215795/f289.image.pagination.r=Coquiere.langFR
1723
- COQUIERE, du port-margot. Le sieur COQUIERE, habitant du
Port-Margot reçoit un paquet anonyme
Mr
le lieutenant COQUIERE aide de camp et neveu de J.P. BOYER président
de la république d'Haiti. A l'age de 11 ans en se livrant à des
exercices militaire il recut un coup de pistolet dans le coté droit
de la face avec une balle. Cela aboutit à une nécrose décrite dans
« Observations d'une nécrose de la branche de la mâchoire
inférieure, siégeant à la base de l'apophyse coronoïde, opérée
par M. le professeur Marjolin, onze ans après la blessure qui
l'avait occasionnée, rédigée par M. A. Ricord,... Paris, le 23
novembre 1827)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56224282
Coquière
à Coutance
-
Dispence de parenté. Jacques COQUIERE et Claude LE MONCHOIS à
Coutances 1687 ref 10760, registre dispenses 2-4 page 1727/2100 (cf
familysearch).
http://www.e-hubert.com/bases50/dispenses-detail.php?id=2120
http://www.e-hubert.com/bases50/dispenses-detail.php?id=2122
I.
André COQUIERE (partage devant notaire le 28.5.1624) d'où
1.
Abraham qui suit II.
2.
Guillaume COQUIERE d'où
a.
Jeanne COQUIERE x Jean FREMOND °v1620 dt Mesnilbus 64 ans en 1685
d'où
a1.
Marie FREMOND °v1655 30 ans x vers 1685 (dispense 9.11.1685) Abraham
COQUIERRE °v1635 35 ans en 1685
II.
Abraham COQUIERE d'où
III.
Pierre COQUIERE °v1614 boulanger à St-Sauveur-Lendelin, 70 ans en
1684 x Françoise YON fille de Jean YON, petite fille de Guillaume
YONd'où
1.
Jacques COCQUIERE °v1645, 40 ans en 1685, 49 ans en 1693 maitre
boulanger à Coutances tuteur actionnaire de Françoise Cocquière en
1693
2.
Jean COCQUIERE °v1647 +1689 maitre boulanger à Coutances,
originaire de St-Sauveur-Lendelin, 38 ans en 1685 x Marguerite JEAN
+20.8.1693 fille de Julien JEAN d'où
a.
Françoise COQUIERE °13.2.1676 +5.9.1714 (sous la tutelle de Louis
Cocquiere 35 ans, de St-Sauveur-Lendelin tuteur principal x 12.5.1693
Saint-Sauveur-Lendelin (50) avec dispense du 4e degré Pierre JEAN
fils de Pierre JEAN tanneur
3.
Abraham COQUIERE °26.8.1651 St-Sauveur-Lendelin (50), 35 ans en 1685
x vers 1685 (dispense 9.11.1685) et contrat de mariage en octobre
1685 Marie FREMOND fille de Jean FREMOND et Jeanne COQUIERE (dispense
en 1685 en présence de Louis Coquière laboureur, 25 ans, de
St-Sauveur-Lendelin voisin)
4.
Louis COQUIERE °19.9.1656 St-Sauveur-Lendelin (50)
4.
Louis COQUIERE °v1660 24 ans en 1684 laboureur x vers 1684 (dispense
19.1.1684 St-Sauveur Lendelin) Jeanne JEAN °v1662, 24 ans lors de la
dispense fille de Julien JEAN laboureur 55 ans en 1684 et Gillette
ALMY d'où
a.
Gilette COCQUIERE °30.8.1694 St-Sauveur-Lendelin (50)
b.
Jeanne COCQUIERE °7.6.1696 St-Sauveur-Lendelin (50)
source:
base Serge Duchemon (patojo):
I.
Adrien COQUIERE x Françoise LEPRESTRE d'où [leur fils a pour
bisaieul Gillette LELONG soeur de Raoul LELONG]
II.
Jacques COQUIERE °v1666 « maitre » x 23.11.1686
St-Nicolas de Coutances (50) (et régulation pour dispense non
demandé 13.7.1687 ref 10760, registre dispenses 2-4 page 1727/2100 )
Claude LEMONCHOIS °v1666 fille de Jacques LEMONCHOIS sieur de la
Martinière et Suzanne LELONG, elle même fille de Raoul LELONG